Wakanim, le contexte
Wakanim oeuvre dans le domaine de l’animation japonaise. Celle-ci est en France l’un des secteurs les plus touchés par le piratage. Les consommateurs d’animés sont habitués aux films et séries disponibles gratuitement et dès la sortie japonaise grâce au fansub (fan subtitles; sous-titrages amateurs réalisés par les fans).
Ce modèle économique fait suite aux précédentes tentatives d’importation des animés japonais vers le marché européen. Les précédents modèles étaient basés sur l’utilisation des VHS et des DVD mais avec l’arrivée d’internet et des téléchargements, les ventes de ces derniers se sont écroulées.
Qu’est-ce que le projet apporte de neuf?
… à ses clients et utilisateurs
Les utilisateurs peuvent visionner des animés 1h après leur passage à la télévision japonaise de manière légale et gratuite pendant 30 jours après la sortie de l’épisode.
… en termes de différenciation concurrentielle
Le paiement à l’épisode/à la saison et la proposition de contenus gratuits tendent à rendre l’achat occasionnel. Les deux autres sites présents sur le marché fonctionnent eux sur un système d’abonnement, donc de paiement régulier.
De plus, leur boutique permet d’acheter des coffrets DVD/Blu-ray leur permettant de dégager un peu plus de chiffre d’affaires en même temps que d’attirer une communauté de réels fans de la culture Manga.
Le potentiel économique du projet
Le marché
Le manga animé est une véritable industrie au Japon, avec plus de 200 séries produites chaque année soit 50 par saison, et près de deux milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2014. La France est le deuxième marché du manga dans le monde surtout au niveau papier. Avec plus de 1 500 titres parus en 2013, le manga représente 40 % des ventes de bandes dessinées.
Cependant, pour l’animé, l’un des obstacles est l’industrie japonaise elle-même. Wakanim a réussi à gagner la confiance des ayants droit japonais, pour qui la démarche représente des risques, notamment la fuite des épisodes avant leur diffusion TV au Japon.
En 2013, par rapport à 2012, Wakanim a augmenté son chiffre d’affaire de 186 %.
La concurrence
La concurrence est constituée de deux sites de visionnage légal (ADN, Crunchyroll) mais également et principalement de sites de piratage d’animés (animes-streaming.net ou neko-san.fr par exemple).
L’ambition de l’entreprise
Pionnier du marché numérique de l’animation japonaise en France, Wakanim souhaite maintenir son leadership et faire croître sa popularité en étendant l’accessibilité des animés en Europe.
En quoi le projet innove-t-il?
- Procédé, organisation : au niveau de l’organisation, les équipes sont composées d’un adaptateur et d’un traducteur par série. Les équipes changent selon la série. Les deux seules personnes travaillant directement en collaboration avec les éditeurs japonais sont le gérant et le traducteur en chef/chef de projet.
- Marketing, commerce : Wakanim vient concurrencer directement le téléchargement illégal en jouant surtout sur l’aspect confort, sécurité, légalité. Le site est particulièrement soigné et très esthétique, avec un programme (ce que les concurrents ne font pas). Ils proposent un service annexe, via leur boutique, qui leur permet de générer un peu plus de CA, attirant les fans et créant de surcroît avec leur forum une véritable communauté.
- Modèle d’affaires : c’est une plateforme de téléchargement qui consiste premièrement en l’acquisition de partenariats avec des éditeurs de mangas. La négociation peut se faire de différentes façons (Achat des droits simples, négociations d’une part du CA généré…). Ensuite ils peuvent générer du CA autant avec les abonnements et achats d’épisodes que par la publicité pour les non abonnés.
La courbe de valeur
L’architecture de valeur
L’équation de profit
On rappelle que cette équation met en rapport un « résultat opérationnel » (CA – Coûts) et les « capitaux employés » (Immobilisations et BFR). Elle permet de s’interroger sur la rentabilité du projet.
Enjeux et effets indirects
Wakanim permet de visionner les animés 1h après leur sortie au Japon voire avant leur diffusion dans certaines provinces japonaises. Cela permet aux utilisateurs d’éviter la frustration qu’ils avaient avant de ne pouvoir voir en France qu’une infime partie de l’immense production japonaise (plus de 200 séries par an), et avec beaucoup de retard. Les consommateurs d’animés voient là une bonne solution légale pour étancher leur soif d’animés.
De plus, les ayants droits japonais y ont leur compte car ils sont rémunérés pour chaque streaming ou téléchargement d’épisodes.
Risques et besoins
Risques du projet
- Ne pas réussir à acquérir de nouveaux animés auprès des éditeurs japonais et ainsi renouveler leur catalogue
- Ne pas parvenir à concurrencer les sites de streaming et téléchargement d’animés illégaux.
Besoins des entrepreneurs
- Financement : Wakanim désire conquérir le marché européen. Une bonne croissance est prévue mais, pour cela, il sera sûrement nécessaire de faire appel à des investisseurs.
- Recrutement : Avec la diversité de langues parlées en Europe, Wakanim devra recruter des traducteurs japonais pour chacune d’entre elles (Allemand, Espagnol, Polonais, Hollandais…).
Coordonnées de l’entreprise
Wakanim SAS
99 A Boulevard Constantin Descat
59200 TOURCOING
En 2015 : Wakanim a ouvert son capital à Aniplex Inc., filiale du géant Sony Music Entertainment.
Dirigeants :
Olivier Cervantès
Ludovic Alcala
Rédacteurs de cette étude de cas
- Brest Gwendal Master 2 MB2i
- Claudel Cécile IAE de Lille
- Decroos Anaïs 2015-2016
4 commentaires sur “Wakanim, l’éditeur d’animation japonaise pionnier contre le piratage [étude de cas]”
Bon article ! Comme l’a dit dagoba: dommage que le sujet ne soit pas assez creusé !
Vous vous seriez sans doute rendu compte que certains sites comme neko-san.fr ne font pas partie de ces « sites de piratage » appelés fansub (aucun traduction ne provient de se site) : c’est simplement une plateforme communautaire qui référence l’intégralité des sorties du web. Par exemple, le contenu licencié par wakanim, crunchyroll, adn,etc… n’y est pas distribué gratuitement : un lien vers les épisodes traduits par ces sites y est juste fourni.
En revanche, ce qui n’est pas licencié en France (et ce qui n’a donc pas de sous titrage français) s’y trouve aussi. C’est là qu’on parle de piratage parce que ce sont des fansubs qui ont rendu disponible gratuitement des épisodes traduits qui n’étaient pas disponibles (histoire que ça sorte quasiment au même moment qu’au japon).
Aussi, quand un vieil animé devient licencié par un des organismes, Neko-San remplace les animés anciennement distribués librement par les fansubs par des redirections vers les épisodes de l’organisme en question. Après je crois que cela repose sur une collaboration entre ce site et crunchyroll,etc… Bien que parfois certaines plateformes comme Wakanim n’ont pas l’air d’être vraiment ouvertes au dialogue (ça m’étonnerait qu’ils aillent informer neko-san qu’ils ont licenciés tels ou tels vieux animés,etc…). Quand on regarde certaines news, on voit des listes entières d’animés qui sont mises à jour parce que crunchyroll les a licenciés et traduit.
Je ne suis pas spécialement du côté de Neko-San, je pense juste qu’ils font un travail formidable pour faire connaitre la japanimation (il y a un magazine, une communauté, un forum,etc,… : chose que vous ne trouverez nul part ailleurs), et en plus de ça ils représentent la transition du changement qui est en train de se produire en France avec la japanimation (notamment en référençant les animés licenciés et en faisant de la pub aux organismes légaux indirectement). Un jour viendra où tous les animés seront licenciés, mais à première vue, Neko-San n’est pas une site qui vit par la licence d’animé ou quoi que ce soit d’illégal : je suis certain que ce site va devenir un très grand site français sur l’animation japonaise (et peut être sur le japon en règle général). Parce que oui, soyons clair : l’animation japonaise n’est en aucun cas leur business (de toute manière c’est même pas un site à but lucratif comme certaines fansub : si on s’y penche un peu on voit clairement un site bénévole qui oeuvre dans la promotion du Japon).
Personnellement, je trouve ça dommage que les 3 organismes que j’ai cité : crunchyroll, adn, wakanim ne puissent pas prendre à eux 3 la traduction de l’intégralité des animés d’une saison. Oui la fansub existerait encore, mais là il y aurait vraiment une raison de blâmer la totalité de ces organisations illégales, tout comme voir les vérités de certains sites qui sont parfois mal vus à tord et à travers.
Bref, il y a de la marge de progression de chaque côté, mais tout ça ça prend du temps !
bonjour, merci pour le commentaire, également très intéressant comme celui de Dagoba. L’article mériterait peut-être une mise à jour tenant compte de vos remarques.
hum, dommage vous n’ayez pas plus creuser le sujet.
« Celle-ci est en France l’un des secteurs les plus touchés par le piratage. Les consommateurs d’animés sont habitués aux films et séries disponibles gratuitement et dès la sortie japonaise grâce au fansub »
Source? non parce que pour moi l’industrie la plus touché par le piratage c’est le porno.
après on remplace les consomateur d’anime par les consomateurs de séries US et on a la même chose.
y a des chiffres sur games of thrones d’ailleurs et en terme de téléchargement illégale ça explose l’animation. chaque ep de cette série devait être plus piraté que l’ensemble des épisodes de tous les anime d’une saison.
« Les précédents modèles étaient basés sur l’utilisation des VHS et des DVD mais avec l’arrivée d’internet et des téléchargements, les ventes de ces derniers se sont écroulées. »
hum l’âge d’or de l’animation phsyique c’est 2007/2008, donc internet n’existait pas avant?
il est très simpliste de résumer la chute de l’animation à ça.
certes, les fansub diffusait des épisode subbé avant que les éditeur édite en physique. il y a en général une différence de 1an entre la fin de la diffusion au japon et la sortie en france (les japonais protégeant leur marché intérieur) mais en gros, le fansub existait avant internet même si c’est internet qui a démocratisé cette pratique.
j’ai connu internet en 1996, il y a donc eu une longue période de cohabitation entre éditeur et fansub mais qu’est ce qui a changé entre l’époque du boom de marché physique et la période actuel. d’une part, pourquoi il y a eu boom?
il y a eu boom en gros parce que la génération club-do / récréa 2 sont arrivées massivement sur le marché du travaille, on eu un emploi stable et donc la thune pour acheter le tout combiner à une nostalgie de cette époque. les gens se sont mis à acheter, on a eu de plus en plus d’éditeur et beaucoup de titre sans doute beaucoup trop vu la publique ce qui a fait qu’éparpiller les ventes. tant que les acheteurs suivait ok, no soucis. on a un peu le même soucis avec les manga. plein de titre, beaucoup d’acheteur mais éparpiller sur tous les titre dispo = peu de vente par tome.
petit à petit, cette génération club-do a eu d’autre priorité, s’est détourné de l’animation (travaille, vie de famille enfant) sauf que la génération suivante, elle, n’a pas eu beaucoup accès aux animes japonais. en effet, on avait plus d’anime japonais à la TV sur les chaînes gratuites sauf pendant une courte période sur C+ dans l’émission la Kaz qui a diffusé notamment trigun, cowboy bebop, samuraï champloo, fma, gto. bref, le publique ayant les moyen d’acheter a diminué petit à petit, des éditeur ont coulé (mabell, beez, anima…) d’autre ont arrêté (tf1, m6…).
de plus, la génération suivante (à celle de la Kaz), est une génération qui est né avec internet et pour qui, le support physique a plus d’inconvéniant que d’avantage. bref une génération qui ne mise que sur le démat. ils l’ont fait avec la musique (mp3) donc ils l’ont fait aussi avec l’animation. pourquoi acheter des dvd? faut avoir un lecteur dvd, mettre les dvd, certain dvd ne sont pas lisible sur pc, pour d’autre tu peux pas les lire avec vlc ou mpc…
la question du légale, ils s’en foutent, ils ont de toutes façon pas les moyen d’acheter (comme moi j’avais pas les moyen d’acheter des coffret 15ans plus tôt sauf que moi, bah du coup je voyais plus d’anime)
on peut aussi rajouter le faite que l’animation japonaise vise surtout un publique ado. soit un publique qui n’a pas d’argent. c’est d’ailleur le soucis de l’animation japonaise. l’étude animefrance sur la consomation d’animation japonaise le montre bien. le publique qui regarde le plus à moins de 18ans et plus on veillit plus on se détache de l’animation. en gros, c’est quand tu as le pognon que finalement tu t’intéresse plus à cette passion.
et pour finir, on peut rajouter la crise. nombre de jeunes sont au chômage et s’ils ont un taf, les patron profite de « la crise » pour les sous-payer et font même passer ça pour de la charité « te plains pas t’as déjà un taf ». bref des conditions très précaire. peut être que si ont été comme en 2008 économiquement la situation du marché physique serait meilleur.
l’avant dernière raison, l’arrivé du simulcast legal. ça a fini d’achever un marché physique à la peine. on est passé d’un mode de consomation ou les nouveau « fan » d’anime regardait les classiques voir les achetaient à bas prix à un mode de la consomation du tout tout de suite et on jette. un anime qui sort 1an après, bah il est considéré comme dépassé, plus d’actualité
la dernière raison, les ayants droits japonais et le prix d’achat des licence.
alors le marché français du faites que premier marché hors japon sur les manga achètent ses licences plus cher que nos voisins européen. il est donc plus difficile de rentabilisé.
d’autre part, les japonais on tendance à mettre des batons dans les roues aux éditeur français (volontairement ou non). pendant une période, les japonais refilé les master tv au lieu des master dvd au éditeur français. les master dvd sont les master TV mais avec des scène retravaillé pour être plus jolie, supprimer la censure… le but éviter que les japonais achètent des coffret étranger. en effet même si pour nous les coffrets japonais sont assez cher comparé par exemple au coffret série US, c’est très bon marché comparé à une intégrale japonaise. en france, une intégrale 24 épisode collector c’est entre 50€ et 120€ au japon on peu multiplier le prix par 4.
autre exemple, la toeï qui ne donne pas le bon master video à black box sur ken le survivant. la saison 1 a été remasterisé mais ils ont donné l’ancienne version. volontaire? sans doute. la raison? toujours pareil l’import.
ce n’est pas tout. même quand vous avez le bon matos, il faut encore passer l’étape de validationd des japonais et ça peut trainer en longueur pour parfois des broutilles. bref, l’éditeurs achètent une licence, bosse dessus veut la sortir pour tel date mais peut voir la sortie repoussé d’un an à cause de la validation. l’éditeur récupère pas son investissement, doit payer ses salarié sans rentré d’argent = risque de mettre la clé sous la porte. c’est une des raisons avancé par black box concernant sa réductiond ‘activité sur l’anime. ils se sont ré-orienté sur le manga au bien souvent il travaille quasi avec le mangaka et donc pas de prise de tête.
c’est donc un tout, une généartion club-do qui disparait petit à petit du marché, la génération suivante qui n’a pas se désir de posséder un objet physique et qui se contente de la vod, une vod qui est venu concurrencer le marché physique et une crise économique qui traine et qu’on fait exprès de trainer afin d’exploiter le travailleur « t’es pas content? change de boite, te plains pas tu as un taf… » des éditeurs japonais de plus en plus tatillon du faites que l’animation japonaise soit en crise dans leur pays
« Les utilisateurs peuvent visionner des animés 1h après leur passage à la télévision japonaise de manière légale et gratuite pendant 30 jours après la sortie de l’épisode »
le 1h c’est pour la com, on a souvent des décalages. bon je m’en fous je suis pas dans la mode du tout tout de suite.
« Les deux autres sites présents sur le marché fonctionnent eux sur un système d’abonnement, donc de paiement régulier. »
faux, crunchy a bien un systeme d’abonnement mais les série sont dispo gratuitement en 480p 15jour/1mois après la diffusion.
ADN propose aussi de plus en plus d’anime dispo gratuit 15 jours. one punch man a été le premier titre il me semble à profiter de se changement. le reste est dispo via abonnement.
« leur boutique permet d’acheter des coffrets DVD/Blu-ray leur permettant de dégager un peu plus de chiffre d’affaires en même temps que d’attirer une communauté de réels fans de la culture Manga »
les ventes sont annecdotique par rapport à amazon/fnac ou anime store. y a que sur les précos des coffret japonais ayant une vostfr que wakanim se démarque mais là encore le vrai fan d’animation commendera directement sur un site japonais afin de gagner quelques euro.
« La France est le deuxième marché du manga dans le monde surtout au niveau papier »
le premier marché hors japon pour la japanimation et le marché US. il profite du faites que la langue international soit l’anglais et donc beaucoup de fan importe ces coffrets et donc un marché moins risqué qu’en france vu que potentiellement plus de fan.
« La concurrence est constituée de deux sites de visionnage légal (ADN, Crunchyroll) mais également et principalement de sites de piratage d’animés (animes-streaming.net ou neko-san.fr par exemple). »
faux encore une fois, il faut rajouter netflix. ok il diffuse pas de simulcast mais ils achètente des droits exclusif et négocie aussi avec les éditeur pour diffuser leur catalogue. en achat vod exclusif, il y a par exemple sidonia no kishi s1 et s2. il diffuse aussi SAO droit qu’ils ont sans doute négocié avec wakanim ou all the anime.
on peut aussi rajouter viewster même si cette plateforme semble avoir abondonner l’idée de s’implenter en france. ils ont par exemple diffusé danmachi en vostfr et working s3 (enfin une partie pour ce dernier anime)
daisuki, une plateforme vod japonaise mais qui met à dispo des sous-titre fr/ang… le tout gratuitement en 1080p.
concernant les sites de piratage, il faut aussi signaler que wakanim est très agressifs et réussi à en fermer assez souvent.
ce qui est une bonne chose surtout quand certain ose appeler ça du fansub. non le fansub, ne fait que du non licencié. le but, ça a toujours était de combler le manque de l’offre légal qui laisse de côté parfois quelques pépites du genre natsume yujiinchou, serei no moribito…
on peut aussi signaler que wakanim a été en partie racheté par aniplex qui est une énorme structure lié à l’animation au japon et qui est une filliale de sony. bref avec les japonais dans la place, plus facile de s’exporter à l’étranger le catalogue étant déjà quasi assuré via les studio a-1.
on peut aussi espérer voir se développer un marché de goodies tel que les figurines. les exclu aniplex étant très dur à importer dans notre pays
par contre un des grand défaut de wakanim, c’est ça communication desatreuse. bien souvent je les trouves autain dans la façon de répondre à leur client. ils ne cherchent pas non plus à règler les problème. parfois on a l’impression qu’il préfère faire la chasse au piratage que de satisfaire le client. du coup le client mécontent se tourne vers le piratage ou els boycott.
il y a eu des amélioration sur le lecteur streaming pas il y a encore pas mal de gens qui ont des soucis.
Merci pour ce long commentaire. Il s’agissait d’une première approche réalisée par des étudiants. Peut-être ceux-ci ont-ils quelques précisions à apporter suite à vos remarques. Cordialement 😉